Un peu de cocaïne pour me délier la langue

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Un peu de cocaïne pour me délier la langue

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« J'étais très beau et je me faisais à moi-même la meilleure impression. Nous avons pris une voiture (en partageant les frais). Ricchetti terriblement nerveux, moi tout à fait serein grâce à une petite dose de cocaïne, bien que son succès à lui soit assuré, et que j'aie pour ma part toutes les raisons de craindre le ridicule. (…) Voilà quelles ont été mes performances (ou plutôt celles de la cocaïne) et j'en suis très satisfait. » Freud, lettre à Martha datée du 20 janvier 1886.

Dans le courant des années 1880, le jeune Freud, qui n'a pas encore arpenté les labyrinthes de l'Inconscient, tente de se faire connaître en publiant des études concernant l'erythroxylon coca, plante à partir de laquelle on fabrique un alcaloïde, la cocaïne, dont il vante les propriétés. Nous joignons à ces études, dont le lecteur francophone trouvera ici une nouvelle traduction, quelques lettres à Martha Bernays, sa future épouse, qui nous éclairent sur l'intimité de Freud avec la drogue.

Détails du livre

À propos de l'auteur

Sigmud Freud

Sigmund Freud, whose influence is undeniable, needs no introduction. But it is here a less usual face of the psychoanalyst that the general public is invited to discover. To quote Freud himself, there is nothing like a little cocaine to "loosen the tongue": "Such have been my performances (or rather those of cocaine) and I am very satisfied with them." A work that allows us to glimpse the importance of cocaine on the genesis of the theory of the unconscious.

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