Pour caractériser la modernité occidentale, on oublie presque toujours de nommer ce qu’on peut nommer la révolution de l’identité. Les rôles sociaux, les appartenances deviennent des apparences, masquant une identité cachée, la vraie.
Ce livre montre qu’on ne peut comprendre les individus contemporains sans la prise en compte de cette identité personnelle qu'ils revendiquent, au-delà de ses rôles sociaux. Quels sont les mécanismes par lesquels chacun cherche à s’affirmer comme unique? Quelles sont les conséquences de cette "double" identité sur le fonctionnement du couple et de la famille? Pourquoi la sociologie doit-elle aussi penser le « Je » et ses conséquences?
François de Singly nous livre des repères pour comprendre clairement les transformations du lien social dans une société moderne où s'affirme le primat de l'individu.
Un livre bilan par l’un des grands sociologues de notre temps.
Ce livre montre qu’on ne peut comprendre les individus contemporains sans la prise en compte de cette identité personnelle qu'ils revendiquent, au-delà de ses rôles sociaux. Quels sont les mécanismes par lesquels chacun cherche à s’affirmer comme unique? Quelles sont les conséquences de cette "double" identité sur le fonctionnement du couple et de la famille? Pourquoi la sociologie doit-elle aussi penser le « Je » et ses conséquences?
François de Singly nous livre des repères pour comprendre clairement les transformations du lien social dans une société moderne où s'affirme le primat de l'individu.
Un livre bilan par l’un des grands sociologues de notre temps.
Détails du livre
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Éditeur
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Texte original
Oui -
Langue
Français -
Langue d'origine
Français -
Date de publication
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Nombre de pages
224 -
Thème
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Collection
À propos de l'auteur
François de Singly
François de Singly est professeur émérite à la Faculté des sciences humaines et sociales - Sorbonne, à l’Université Paris Descartes, et chercheur au CERLIS (CNRS). Auteur de nombreux ouvrages qui font référence, il analyse notamment les transformations de la famille et des liens conjugaux et familiaux, comme conséquences de l’individualisation des femmes et des enfants.