Le mythe des morts prématurées dues à la pollution de l'air L'exagération officielle des décès dus à la pollution de l'air, au tabac et à l'alcool

Le mythe des morts prématurées dues à la pollution de l'air

L'exagération officielle des décès dus à la pollution de l'air, au tabac et à l'alcool

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L'agence Santé publique France chiffrait le nombre desdécès dus à la pollution de l'air à 48 000 en 2016. Cette évaluation a été prise à son compte par le gouvernement qui a proposé des mesures pour réduire la circulation automobile à l'origine de cette pollution. Depuis, les évaluations s'envolent : 67 000 décès selon la Société européenne de cardiologie ou 97 242 selon un groupe d'universités mené par Harvard. Cette inflation est saluée sans aucune critique par la presse et les médias. La comparaison entre un Massif central très peu pollué et l'Île-de-France très polluée montre que le pourcentage de décès par rapport à la population est identique pour toutes les tranches d'âge. La pollution n'a donc aucun effet sur la mortalité. Santé publique France décompte des « décès attribuables » au tabac ou à l'alcool. L'utilisation des statistiques de décès dus aux morts violentes et aux pathologies autres que celles retenues pour ce décompte permet de montrer que les décès attribués à ces addictions sont très surévalués.

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